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Familles Rurales Association d'Attigny
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1 mars 2011

Ils vous attendent à la bibliothèque ...

.....et ce, dès demain !! Soyez y avant moi , j'ai repéré des livres tout à fait dans mes goûts....

Les voici :

                          le_signal            

Pour la dernière fois, Mack et sa femme, Vonnie, partent camper dans les montagnes du Wyoming afin de se dire adieu. Enlisé dans les dettes et l'alcool, Mack a peu à peu contraint Vonnieà renoncer à l'amour profond qui l'avait attirée vers l'Ouest, et la jeune femme a refait sa vie. Cette randonnée est un moment de complicité retrouvée, une ultime chance de se dévoiler l'un à l'autre. Pour Mack, cette expédition est aussi l'occasion d'exécuter une dernière mission pour le compte d'un intermédiaire douteux afin de sauver son ranch de la faillite. Au coeur des vastes étendues sauvages, guidé par un faible signal GPS, il doit retrouver une mystérieuse balise égarée lors d'un survol de la région. Mais cette mission se révélera bien plus périlleuse que prévu. Le Signal est un roman magistral combinant le destin d'un amour qui s'achève avec un suspense qui nous mène au paroxysme de l'angoisse. Un livre palpitant qui se lit d'une traite.

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                                        messages_meres

 

Une fois de plus, Xinran nous emmène au c ur de la vie des femmes chinoises étudiantes, femmes d affaires, sages-femmes, paysannes toutes hantées par des souvenirs qui ont marqué leur vie d une empreinte indélébile. Que ce soit à cause de la politique de l enfant unique, de traditions séculaires destructrices ou de terribles nécessités économiques, des femmes ont été contraintes de donner leurs filles en adoption, d autres ont dû les abandonner dans la rue, aux portes des hôpitaux, dans les orphelinats ou sur des quais de gare , à d autres encore, on a enlevé leurs petites filles à peine nées pour les noyer.
Ces récits, Xinran n avait jusqu à présent jamais pu se résoudre à les rapporter ils étaient trop douloureux et la touchaient de trop près. À toutes les petites Chinoises qui ont été adoptées à l étranger, ce livre adresse un message poignant, pour leur montrer ce que leurs mères ont réellement vécu et pour leur dire qu elles ont été aimées et ne seront jamais oubliées.

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                             fronti_re_blanche

Ancien agent du KGB, Viktor Kärppä a quitté sa Russie natale pour la Finlande afin de fuir son passé. À Helsinki, où il a ouvert une agence de détective privé, il rend divers services à des trafiquants locaux, traversant souvent la frontière pour passer en douce des documents ou prendre livraison d'alcool ou de cigarettes.
Lorsque Aarne Larsson, marchand de livres anciens et nostalgique du nazisme, lui demande de retrouver sa femme Sirje, qui a mystérieusement disparu, Viktor pense qu'il s'agit là d'une simple affaire de routine... Or, bien vite, il découvre que Sirjeest la soeur d'un baron de la drogue, l'Estonien Jaak Lillepuu.
Et l'enquête de Viktor semble soudain intéresser beaucoup de monde, trop à son goût : un inspecteur de la police d'Helsinki, à qui il donne parfois des tuyaux, ses anciens « camarades » du KGB et Jaak Lillepuu en personne. Un jour, ce dernier disparaisse à son tour... ''Matti Rönkä n'explique rien. Il raconte. Avec son style sec et nerveux, Matti Rönkä donne une nouvelle couleur, une nouvelle dimension au polar nordique.'' Frankfurter Rundschau

                                                     Andy_heading_flourish 

                                    glac_

Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d'une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d'un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée.

Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée.

Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ?


Une atmosphère oppressante, une intrigue tendue à l extrême, une plongée implacable dans nos peurs les plus secrètes, ce premier roman est une révélation !

                                                 Andy_heading_flourish

                                       le_fils

 


« Le onzième jour après ma mort, Papa est allé porter ma couette à la teinturerie. Monter la rue du Couédic, les bras chargés de ma literie, le nez dedans. Il se dit qu il renifle mon odeur. En fait, ça pue, je ne les avais jamais fait laver ces draps ni cette couette. Ça ne le choque plus. Au contraire : subsiste encore quelque chose de moi dans les replis blancs qu il porte à la teinturerie comme on porterait le saint sacrement. Papa pleure le nez dans le coton. Il profite. Il sniffe encore un coup la couette, et il pousse enfin la porte du magasin.
Papa ne peut plus traîner. Condoléances, etc. Le teinturier recondoléances, etc. débarrasse papa de la couette. Papa aurait voulu que ça dure, une file d attente, une livraison, une tempête, juste que ça dure le temps de respirer encore un peu plus des bribes de mon odeur. Papa se dépouille, il perd, il perd. »

Michel Rostain nous happe dans le récit d un deuil impensable. Avec une infinie pudeur et une grande finesse, il nous entraîne dans les méandres d un amour absolu, celui d un père pour son fils.

« Dans ce livre totalement singulier, Michel Rostain parvient à dire l indicible, à penser l impensable, à cerner avec délicatesse un événement monstrueux : la disparition brutale d un enfant adulte.
Je l ai lu six fois. À chaque fois j ai pleuré. Plus étonnant, à chaque fois j ai ri. Et à chaque fois je l ai refermé en éprouvant une immense gratitude envers l auteur, d avoir su nous faire ressentir la beauté de l amour, la manière miraculeuse dont elle nous enrichit, par-delà le deuil. »
Nancy Huston


                                                            Andy_heading_flourish

des_gens_tr_s_bien

 

"Tandis que mon père s'endort peu à peu contre moi, je lui parle une dernière fois :
Plus tard, tu ne pourras pas vivre avec le secret des Jardin. Il te tuera...
Tu feras un livre, Le nain jaune, pour le camoufler.
Au même âge que toi, j'en ferai un, Des gens très bien, pour l'exposer.
Et je vivrai la dernière partie de ta vie... La mienne.
Dors mon petit papa, dors...

Ce livre aurait pu s'appeler "fini de rire".
C'est le carnet de bord de ma lente lucidité."

A. J.

C’est un livre tout à fait inattendu dans l’œuvre de l’auteur de Fanfan et du Roman des Jardin. Pour la première fois, en effet, un « Jardin » décide de retrousser les légendes qui, jusque-là et avec sa propre complicité, ont embelli l’histoire de sa famille, et de se pencher sur la face sombre de celui qu’on appelait « le Nain Jaune », c’est-à-dire son grand-père, Jean Jardin.
Rappelons que celui-ci fut le directeur de Cabinet de Pierre Laval de mai 1942 à octobre 1943 ; autant dire que lors la rafle du Vél d’Hiv – à la mi-juillet 1942 – le Nain Jaune était bien au cœur du pouvoir collaborateur.
Dans Des gens très bien, Alexandre Jardin raconte son odyssée intime depuis l’âge de dix-sept ans, où il a commencé à comprendre ce que signifiaient les responsabilités glaçantes de son grand-père, tues par sa famille – avant de s’interroger sur les chemins qui conduisent quelqu’un de bien à participer à l’horreur ; et à l’assumer sans jamais se renier.
Derrière le rire d’Alexandre, il y avait donc ce secret terrible, étrangement exhibé par son père Pascal pour qu’il ne soit pas vu.
Ce voyage chez ces « gens très bien » passe par des souvenirs, des saynètes difficiles : c’est une confession grave.

 * * * *

A vous de les découvrir,de les déguster ou  de les dévorer ...... dès demain !!!

 

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